Parlez-nous de votre activité, de ce que vous aimez en elle ?
Je cultive pommes, cerises, courgettes, courges, concombres et tomates. Les deux aspects que j’apprécie le plus sont le plein air et la technicité de l’exploitation.
Depuis combien de temps et pourquoi êtes-vous en bio ? Avez-vous un secret de producteur, une astuce ?
Depuis 2002. Je travaille en plein champ, en arboriculture et en abri méditerranéen, ce sont des cultures adaptées à mon terroir. Participer au développement de la biodiversité, se passer de traitement chimique et travailler le sol sont pour moi une motivation. En bio, la présence dans les cultures conditionne la qualité des récoltes. C’est une histoire de passion. Non, Je suis un mur. Un secret reste un secret…
Comment envisagez-vous votre avenir ?
Ça fait déjà deux générations (et quatre si je prends en compte notre travail qui a commencé en Algérie) que nous exploitons des fruits et légumes, et mes enfants pourraient très bien reprendre mon activité
Pourquoi avez-vous fait confiance à la COOP ?
Son histoire, la compétitivité, son esprit de groupe, des éléments positifs selon moi. Si je devais résumer : seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.